Le site Internet Crytomerge, hébergé à l’adresse suivante « www.crytomerge.com », est une plateforme non-autorisée d’investissements visant les consommateurs français.
Cette plateforme non-autorisée propose à ses « clients » de réaliser des investissements sur le marché des cryptomonnaies et du Forex avec la promesse de gains très élevés.
Déçus par des produits qui rapportent peu, de nombreux épargnants ont été victimes de cette escroquerie.
La plateforme Crytomerge se présente de la façon suivante :
Le site Internet de la plateforme Crytomerge propose la page d’accueil suivante :
Les points troublants recensés sur la plateforme Crytomerge :
La plateforme Crytomerge ne dispose d’aucun agrément pour les services proposés :
Il apparaît que la plateforme n’est pas agréée. Or, il est dorénavant obligatoire de le faire pour les sociétés financières proposant des placements en biens divers à des consommateurs français et ce, conformément à l’article L. 550-3 du Code monétaire et financier.
Les éléments troublants quant à l’enregistrement du nom de domaine :
Selon le Whois, service de recherche fourni par les registres Internet, le site Internet « www.crytomerge.com » a seulement été créé le 6 décembre 2022.
Il est également important de relever que le titulaire de l’enregistrement du site Internet a pris le soin de bénéficier des services d’anonymisation des données personnelles.
Ainsi, il est impossible de vérifier rapidement le propriétaire réel du site Internet.
Aussi, nous vous conseillons de ne pas investir sur cette plateforme.
Une enquête est en cours.
Victime de cette plateforme ? Des recours existent.
Le cabinet COLMAN Avocats, cabinet d’avocats basé à Paris décrypte pour vous les plateformes frauduleuses. En effet, nous défendons depuis plusieurs années les investisseurs. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter notre site dédié.
Pour aller plus loin : Vous avez des questions sur les investissements sur Internet ? N’hésitez pas à lire nos pages dédiées. Investisseurs ayez les bons réflexes et Victimes d’escroqueries : le point sur les recours envisageables.